Mes cours de création littéraire se sont terminés il y a un peu plus d’un an. Depuis, j’écris oui pour le plaisir, beaucoup même, mais non pas assidûment tel que je me l’étais promis. J’ai envie de vous partager ce qui se passe dans ma tête, toutes ces histoires, ces mille aventures, que je réécris en petites nouvelles littéraires par là pour passer le temps.
En fait je m’engage à vous partager quelque chose chaque mercredi. Mercredi, belle journée parfaitement neutre en milieu de semaine. Et je n’aurai pas le choix de me mettre à la tâche!
Il s’agit de fiction, et non pas d’autofiction. Je ne serais tout simplement pas capable de publier de l’autofiction sur ce blog. Un de mes enseignants en création déclarait que lorsqu’on s’apprête à publier un roman, un recueil de nouvelles, bref n’importe quoi qui a trait à l’art, c’est qu’on assume à 100% tout ce qui y est décrit. N’importe qui peut y avoir accès et émettre ses propres jugements.
Alors c’est avec un petit doute ce soir que je me lance dans le vide, en vous partageant une nouvelle (courte, minuscule!) inspirée d’une discussion banale dans le métro avec un ami :
Ami : Regarde la publicité.
M-H : Elle est enceinte mais son enfant est beaucoup trop haut. C’est pas crédible.
Ami : Elle a un enfant dans le cœur.
Une simple phrase a le pouvoir de déclencher une histoire qui s’enflamme en une fraction de seconde.
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